Ce court article se penche sur les gares de la région et leur mise en valeur.

Ce document présente une exposition qui se veut un regard nouveau sur le patrimoine témiscamien. En 2009, la Commission culturelle mettait sur pied son grand projet d’Identification patrimoniale et culturelle des municipalités témiscamiennes qui visait à doter chacune d’entre elle d’un portrait des richesses de leur patrimoine mobilier, immobilier, immatériel et naturel, dans le but d’éventuellement le mettre en valeur. Cette identification a pris différentes formes avec le temps et selon la municipalité, mais le but commun est demeuré de mettre en lumière le patrimoine de chacune des localités du territoire. La finalité de ce grand projet se voulait une exposition regroupant toutes les municipalités et permettant l’accès à des pièces patrimoniales uniques. Il aura donc fallu cinq ans avant de voir naître cette exposition. 

L’ouvrage montre d’abord l’importance des cours d’eau comme moyens de communication. Le curé Napoléon Lévesque décrit la construction de l’école-chapelle. Il explique la grande distance que le docteur Desrosiers (vivant à La Sarre) devait parcourir en canot pour voir ses patients. Y apparaissent les noms d’institutrices et d’infirmières de garde, notamment la garde Bergeron, qui ont rendu d’immenses services depuis la construction du Dispensaire en 1943. On y voit un cimetière autochtone (sans description).